Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (92)

Après que Jacqueline a réussi à se rattr du mauvais tour qu’elle nous a joué à Royan, nous nous retrouvons devant l’écran et le magnétoscope que Jacky aidé de quelques-uns a installé et il les met en marche.

• Mesdames et messieurs, le premier film que nous vous présentons ce soir vous fera voir une grande, voir une très grande salope se faire défoncer par deux déménageurs dans l’arrière-salle d’un bar glauque.
Cette scène tournée par nos amis, Christine et Adonis va vous montrer ce qu’elle acceptait de ses amants alors que le mari était au travail afin de faire vivre cette chienne qui n’avait aucun respect pour lui en refusant de l’honorer comme elle va le faire avec ces deux mâles.

Je suis allongée sur un transat avec Océane dans mes bras.
Les images défilent, je revis tout ce que j’ai vécu alors que pour Océane, ces images enregistrées et qu’elle ignorait sur la cassette.
Un exemple pour elle.
À l’arrêt au feu rouge elle se voit défaire ses cheveux et les voit tomber en cascade sur ses épaules.

Elle se voit entrer sur des talons haut et est bien obligée de reconnaître que cette femme sait-elle.
Je la sens frissonner alors que la température est très douce.
Est-ce un frisson de plaisir ou de dégoût de ce qu’elle sait avoir fait après ?
Dans la scène suivante un Oh ! s’élève parmi les femmes à la vision des deux camionneurs tatoués.
Ces Oh ! sont-ils de dégoût ou bien d’envi ?
Jacky et Aurélie ont repris le film après que je fus entrée dans la cour arrière.
La façon dont mon amie reçoit les sexes des deux hommes, complètement différent que quand nous faisons des jeux érotiques sur notre terrasse, ou comme tout à l’heure aux ports de pêche.
Nos jeux sont maîtrisés et à aucun moment l’un ou l’une d’entre nous, risquons de voir entrer dans notre ronde des individus qui viendraient faire subir quoi que ce soit d’intolérable alors que dans son bar la situation aurait pu échapper à Océane.


On entendrait voler une mouche.
Tous sont fascinés par cette femme qui n’a aucun tabou.
Après ce que m’a révélé Océane sur sa phobie du sexe qui s’est emparée d’elle et qui aurait pu l’entraîner dans une déchéance physique et morale.
Le premier film se termine avec l’éjaculation des deux hommes dans sa bouche alors qu’elle réussit à saisir les deux gros glands.

Alain rallume l’éclairage de la terrasse, la tension liée aux images retombe peu à peu, Véronique s’approche d’Océane et l’embrasse.
Ce geste d’amitié fait beaucoup de bien à cette femme qui s’abandonne le long de mon corps.
Elle sent que le jugement que nous portons sur elle n’est en aucun cas négatif.

Alain éteint et le deuxième film démarre.
Ce film est très court, ce sont les images d’Océane enlevant son costume de salope et qui va dans la salle de bain pour que l’eau la purifie des scènes extrêmes qu’elle vient de vivre.
Nous regardons le film que j’ai tourné avec Adonis dans le salon de celle qui pour moi à ce moment là est une castratrice de son mari.
Avec du recul je sais ce qu’elle m’a expliqué dans le lit au réveil.
Je sais par où elle est passée et comment elle a essayé de se refaire une virginité après son mariage mais qu’elle est passée d’un excès à l’autre et c’est Georges qui en a fait les frais.

Enfin le dernier film tourné par Océane quand Georges arrive est très prenant.
Elle a placé le Caméscope sur un chevet de la chambre qui permet de la voir s’agenouiller dans le vestibule et recevoir le collier de Véronique.
La tête qu’il nous montre en entrant chez lui pensant trouver sa mégère habituelle non apprivoisée, alors qu’il trouve une brebis prête à se faire croquer par le loup.
Un peu intimidé au début, Georges emmène sa femme dans la chambre.
Il s’accroche à la laisse plutôt qu’il ne la maîtrise.
Il s’assoit sur le pied du lit et pour la première fois essaye un ordre.


• Suce !

Quelle surprise de voir celle qui baisait dans le noir être nue devant lui et être en train de lui défaire le pantalon pour extirper sa verge énormément tendue.
Et comme il lui a demandé, elle exécute son ordre, elle le prend en bouche et monte et descend ses lèvres à un rythme idéal pour l’emmener vers le plaisir.
Le plaisir, surtout pas, il veut voir jusqu'à ou elle est prête à aller.
Qui a changé sa femme en femelle appelant la saillie ?
Son cerveau peut-il imaginer que celle qu’il craignait et qu’il évitait de contrarier était là a genou au pied de son lit son sexe dans sa bouche attendant ses ordres.

• Met toi à quatre pattes ?

Aussitôt demandé aussitôt en position.

• Que désires-tu ?
• Encule-moi !

Nous voyons Georges légèrement déboussolé, se pinçant presque pour se réveiller de ce rêve éveillé.
Alors pour être sûr, il se lève écarte les cuisses de la femelle et lui fourre sa verge au fond de son anus.
Le bruit fait par sa femme empalée par sa pine est un bruit de plaisir et non de rejet, plaisir qu’il désespérait de lui donner.
Il lui prend les hanches et la laboure comme un mort de faim.

• Vas-y mon cœur enfile-moi, traite-moi comme une petite chienne que je suis. Christine m’a dit !
• Christine ?
• Non pas Christine mais Magali, l’escorte que tu as baisée hier.

Ces derniers mots sont presque inaudibles car elle jouit.

• Elle est venue ici.

Scène irréelle que même Johnny Biroute aurait hésité à tourner.
Le mari sodomisant sa femme et conversant de la visite qu’elle a reçue.

• Et que t’a-t-elle dit ?
• C’est dur de te parler avec ton bâton ficher dans mon anus.

Une nouvelle fois les derniers mots sont presque inaudibles car son corps réagit à la pénétration.

• Elle m’a dit que j’étais une méchante femme de me faire baiser par mes camionneurs dans la cour de mon bistrot crade !

Il continue à la limer.


• Des camionneurs ?
• Oui, je t’ai caché bien des choses quand je t’ai rencontré, j’étais accro au sexe et j’ai abusé de ta gentille pour changer de vie mais un jour mon sexe à recommencer à me démanger comme à Poitiers quand je faisais l’amour avec tous les hommes qui voulaient bien de moi.

Une fois de plus elle murmure et jouit.

• Tu m’as fait cocu avec des camionneurs.
• Oui, je les ai rencontrés sur l’autoroute en revenant de mon gynéco à Saintes, l’appareil que le praticien a introduit en moi à déclencher mon envi de sexe.
• Ou les as-tu rencontrés ?
• Sur le premier air où je me suis arrêté pour aller me masturber, j’étais tellement pressé que je suis rentré chez les hommes et que ces deux hommes étaient le torse nu à faire leurs toilettes dans les lavabos.
• Ou t’ont-ils baisé ?
• D’abord j’allais tellement vite que je me suis retrouvé contre la poitrine de l’un d’eux et j’ai senti sa verge sur ma cuisse à travers son pantalon.
Elle m’a paru si grosse que j’y ai porté main.
L’autre s’est collé à moi me faisant sentir qu’il avait la même et ils ont remis leur chemise et je les ai suivis dans leur cabine de camion.

Pendant cette explication les images nous montrent le couple continuant à sodomiser sa femelle car les râles de plaisir que la verge de son mec lui procure sont de plus en plus intenses.
N’y tenant plus, le couple éclate ensemble dans une gerbe de plaisir, Océane nous montre une facette de la salope qu’elle a été avant de se marier avec Georges en jouissant par l’anus.
Ils s’écroulent sur la descente de lit et restent prostrée un long moment.

Revigorés, Georges porter sa femme sur le lit, ils sont face à face et se regardent dans les yeux.

• Explique-moi tout ce que tu as oublié de me dire depuis que je t’ai connu à Poitiers !

S’ensuit une longue explication sur sa vie dissolue qu’elle a voulu gommer en l’épousant, sa passivité en amour qui l’a conduite à dériver dans son couple et son sexe jusqu’au jour où elle rencontre les camionneurs et se faire prendre d’abord dans leur cabine de camions puis dans le fond d’une cour dans un café sordide.


• Christine, en venant chez nous m’a ouvert les yeux car sinon j’aurai certainement accepté la proposition du patron de me prostitué la semaine prochaine dans une chambre qu’il avait à l’étage.
• Quelque chose m’échappe ?
Tu as parlé de Christine lorsque je t’enculais et de Magali.
• Bien, d’abord ou étais-tu hier ?
• Dans mon hôtel à Angoulême.
• Avec qui ?
Évite de me mentir, je t’ai dit toute la vérité sur moi, repartons sur des bases saines !
• Tu as raison, à l’hôtel à La Rochelle j’ai trouvé une carte oubliée par un client me donnant le numéro d’un service d’escorte, j’ai appelé et avec sa persuasion elle m’a fait expliquer le problème de notre couple.
• Tu comprends maintenant quand elle travaille comme escorte girl elle a un prénom d’emprunt Nathalie, elle souhaite nous recevoir dans sa villa de Saint-Palais et elle m’a donné son vrai prénom Christine.
Comprends-tu ?
• D’accord nous irons la rencontrer demain.

Au moment où il s’apprête à l’honorer de nouveau la cassette se termine et l’écran devient blanc.
D’un seul coup, tous entonnent en cœur, merci Christine, merci Christine, merci.
En temps normal mon émotivité est intérieure mais je reconnais être prête à verser une larme…

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